Les immigrés et leurs descendants directs représentent une population de 10,2 millions (près de 17 % de la population métropolitaine).
Les personnes originaires des pays tiers (Maghreb et Afrique noire à titre principal) sont au nombre de 6,2 millions. Les immigrants et leurs descendants des pays tiers disposent de faibles revenus initiaux qui sont majorés par une
vigoureuse politique de redistribution sociale.
Cette politique se traduit par une détérioration des Finances publiques et des comptes sociaux : l'immigration des pays tiers se solde par un déficit annuel de 50 milliards d'euros qui représente 84 % du déficit global de l'État (60 Mds en 2004). Au niveau du Produit Intérieur brut, les caractéristiques socioéconomiques de l'immigration des pays tiers entraînent en 2004 une moins-value de 67 milliards d'euros, ce qui représente annuellement une perte de 1.100 euros par habitant et de 4.400 euros pour une famille de 4 personnes (28.860 FF).
En définitive, cette immigration appauvrit l'économie française au lieu de contribuer à son développement.
(journal Tribune - avril 2006)
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