La Grande-Bretagne menacée par l’immigration
Source : Lastminutes du 15 janvier 2008
La Grande-Bretagne doit construire 2 millions de nouvelles maisons pour faire face au nombre de plus en plus important d’ immigrés. Ceci signifie que 263 maisons doivent être construites journalièrement et ce, durant une période de 20 ans. Ce qui représente l’équivalent de la taille de la ville de Paris. Selon le rapport des réclamations Britannique de Migrationwatch, on annonce que 40% des maisons prochainement construites iront aux nouveaux migrants. On y apprend que le taux d’immigration en Grande-Bretagne est 25 fois plus élevé qu'en presque mille ans d’histoire.
Les «avantages» économiques sont avertis par ‘coups de trompette’ par le gouvernement à chaque occasion. ‘On n’entend jamais parler des coûts, tels que le chiffre total absolument énorme suite aux conditions d'infrastructure afin de construire les millions de maisons exigées pour les nouveaux immigrés. La pression supplémentaire qui sera mise sur des écoles, le transport et les services de santé «auront des ramifications massives pour chacun vivant dans ce pays pendant les décennies à venir. Notre pays a déjà une densité identique à celle de l’ Europe. Nous ne pouvons pas nous permettre de continuer. Notre objectif doit maintenant être d’un plus large équilibre entre l'immigration et l'émigration’
Le gouvernement prévoit qu’en l'Angleterre, la migration se développera de 130.000 nouveaux venus lors de chacune des prochaines années à venir pour atteindre 171.500/an en 2026. 40% de nouvelles maisons migratrices est expliqué pour s’avertir des ménages à venir qui s’élèvera de 223.000 à 246.000/ an. Les Députés les ont assignés sur la base du besoin, signifiant que des immigrés sont souvent désignés comme prioritaire car ils sont fraîchement débarqués dans le pays et ne savent pas où aller pour y vivre. En 2006, 10.000 maisons d’une valeurs de £1.3billion ont été remises aux immigrés. Le gouvernement payant presque la moitié de cette somme. Le reste a été déposé par des associations et des agences immobilières.
Le rapport conclut en disant que l'avantage économique global de la migration est faible mais fortement supérieur par l’implication d'ajouter 18 millions à notre population dans les 50 ans à venir. Le groupe de réflexion présentera ses résultats demain à la Chambre des Lords. Trevor Phillips, élu du gouvernement, a récemment indiqué la crainte de voir les migrants se ruer sur les files d'attente, alimentant des tensions. Le rapport de Migrationwatch s’attaque également à ce qu'il appelle 'le mensonge préféré des quatre du gouvernement' sur les avantages de l'immigration. Il écarte l’hypothèse que les migrants sont nécessaires pour occuper les 600.000 offres d'emploi alors qu’environ 900.000 personnes sont venues depuis 2001, et que les offres d'emploi demeurent les mêmes.
Il rejette les suggestions suivantes:
- les immigrés s’expliquent d’une main d'oeuvre de 8% mais contribuent à 10% de produit intérieur brut,’
- les revenus immigrés sont 13% plus élevés que ceux des ouvriers indigènes.
- les pensions dépendant des immigrés ont été rejetées par le comité des seigneurs il y a cinq ans’
Le rapport s’explique autour des millions de migrants recueillis sur la côte de la Libye, prévoyant une traversée maritime en Europe. Certains d’entre-eux espérant se diriger pour le Royaume-uni. La population de la Grande-Bretagne pourrait pratiquement doubler due à l'immigration montante et les taux de natalité en hausse constante. Le nombre pourrait être de l’ordre de 110 millions d'ici 2081. En Grande-Bretagne, le nombre d'enfants nés d'européen occidentaux a cent fois plus rapidement augmenté que les naissances ‘de mères britannique’ de novembre 2007
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